Renaissance | Armure de protection supérieure du chevalier | Armure supérieure du canon du XVIe siècle
Description
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Contexte historique et origine
Région : Europe du Nord ou de l'Ouest
Matériau : Acier forgé avec détails décoratifs
Période : XVIe siècle de notre ère
Description
Ce canon de protection du bras, finement travaillé, illustre l'ingéniosité de la fabrication d'armures de la Renaissance. Forgé en acier au XVIe siècle, il reflète l'équilibre parfait entre fonctionnalité martiale et design raffiné de l'époque. Les armuriers de cette époque produisaient des pièces non seulement pour résister à la brutalité des combats, mais aussi pour symboliser la richesse et le prestige de leurs nobles propriétaires. Cet élément présente une forme articulée pour protéger le bras tout en offrant une grande flexibilité, une attache crochetée pratique pour l'intégration aux autres éléments de l'armure, et des crêtes renforcées pour dévier les coups ennemis. Des motifs torsadés décoratifs renforcent sa solidité structurelle et son raffinement esthétique, le désignant comme l'apanage d'un chevalier d'élite ou d'un noble guerrier.
Caractéristiques
- Construction en acier forgé avec arêtes biseautées pour la déflexion
- Articulation rotative pour une mobilité totale du bras
- Fonction d'accrochage pour la fixation à des défenses supplémentaires
- Motifs décoratifs torsadés, alliant force et art
- Conception compacte mais durable adaptée à la fois à la bataille et à la cérémonie
Importance culturelle
Une armure de ce calibre était plus qu'un simple équipement de champ de bataille : c'était un symbole de statut social. Appartenant à des chevaliers ou à des nobles de haut rang, elle incarnait la prouesse martiale et le prestige social. Sa conception polyvalente permettait de la porter aussi bien au combat que lors des processions cérémonielles, soulignant le double rôle de l'armure de la Renaissance : défense fonctionnelle et splendeur visuelle.
Condition
La pièce conserve une patine naturelle et des abrasions superficielles prévisibles, typiques de son âge. Malgré une légère usure, sa structure est restée intacte, préservant à la fois ses qualités défensives et ses détails ornementaux. Ces signes d'authenticité ajoutent à sa valeur historique et de collection.
Dimensions (approximatives)
Longueur : 11 po
Âge
Plus de 450 ans
Description
Contexte historique et origine
Région : Europe du Nord ou de l'Ouest
Matériau : Acier forgé avec détails décoratifs
Période : XVIe siècle de notre ère
Description
Ce canon de protection du bras, finement travaillé, illustre l'ingéniosité de la fabrication d'armures de la Renaissance. Forgé en acier au XVIe siècle, il reflète l'équilibre parfait entre fonctionnalité martiale et design raffiné de l'époque. Les armuriers de cette époque produisaient des pièces non seulement pour résister à la brutalité des combats, mais aussi pour symboliser la richesse et le prestige de leurs nobles propriétaires. Cet élément présente une forme articulée pour protéger le bras tout en offrant une grande flexibilité, une attache crochetée pratique pour l'intégration aux autres éléments de l'armure, et des crêtes renforcées pour dévier les coups ennemis. Des motifs torsadés décoratifs renforcent sa solidité structurelle et son raffinement esthétique, le désignant comme l'apanage d'un chevalier d'élite ou d'un noble guerrier.
Caractéristiques
- Construction en acier forgé avec arêtes biseautées pour la déflexion
- Articulation rotative pour une mobilité totale du bras
- Fonction d'accrochage pour la fixation à des défenses supplémentaires
- Motifs décoratifs torsadés, alliant force et art
- Conception compacte mais durable adaptée à la fois à la bataille et à la cérémonie
Importance culturelle
Une armure de ce calibre était plus qu'un simple équipement de champ de bataille : c'était un symbole de statut social. Appartenant à des chevaliers ou à des nobles de haut rang, elle incarnait la prouesse martiale et le prestige social. Sa conception polyvalente permettait de la porter aussi bien au combat que lors des processions cérémonielles, soulignant le double rôle de l'armure de la Renaissance : défense fonctionnelle et splendeur visuelle.
Condition
La pièce conserve une patine naturelle et des abrasions superficielles prévisibles, typiques de son âge. Malgré une légère usure, sa structure est restée intacte, préservant à la fois ses qualités défensives et ses détails ornementaux. Ces signes d'authenticité ajoutent à sa valeur historique et de collection.
Dimensions (approximatives)
Longueur : 11 po
Âge
Plus de 450 ans
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